Partir

Marseille, un matin du printemps 2020. Les cris déchirants de mes voisins, échos de leur démence confinée, m’avaient arraché à la nuit bien avant les premières lueurs. J’avais trouvé refuge à proximité de la plage des Catalans, où je contemplais le lever du soleil, dissimulé de toute intrusion policière ou virologique par un amas deLireLire la suite « Partir »